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Le mois dernier, nous vous avons présenté quelques-uns des nouveaux membres de notre équipe depuis 2018. D’autres personnes ont grossi nos rangs depuis, comme en témoignent les brèves notices biographiques qui suivent. Des gens qui mettent en action votre soutien à la cause des oiseaux.
 

Laura Bartlett – Coordonnatrice des programmes en Nouvelle-Écosse
« C’est avec beaucoup d’enthousiasme que j’entre en fonction pour m’occuper de passionnantes activités, en particulier le Programme de conservation du Pluvier siffleur en Nouvelle-Écosse. J’ai obtenu un baccalauréat en durabilité et sociologie de l’environnement et, récemment, une maîtrise en gestion des ressources et de l’environnement de l’Université Dalhousie, où mes champs d’étude étaient la protection des espèces sauvages et l’adoption de comportements écologiques. Je m’intéresse aux motivations des gens par rapport à l’environnement et aux façons de les utiliser pour apporter des changements positifs. J’envisage d’appliquer les connaissances ainsi acquises pour réduire les dérangements causés aux Pluviers siffleurs et à d’autres oiseaux par les humains. Dans mes temps libres, je me lève tôt pour aller observer les oiseaux ou je voyage pour découvrir de nouvelles espèces. »
 
 
 

Catherine Dale, Ph. D. – Coordonnatrice de l’Atlas des oiseaux nicheurs de Terre-Neuve
« Mon rôle au sein d’Études d’Oiseaux Canada m’emballe énormément. Mon nouveau travail comporte deux des choses qui me passionnent le plus, l’ornithologie et la sensibilisation aux sciences. Je suis fermement convaincue de l’importance de la science citoyenne et j’ai très hâte de collaborer avec des bénévoles de partout à Terre-Neuve à la réalisation de l’atlas des oiseaux nicheurs. J’ai obtenu récemment un doctorat en étudiant les mouvements migratoires des Merlebleus de l’Ouest qui nichent en Colombie-Britannique, et la perspective de retourner sur le terrain à l’autre bout du pays et de connaître les oiseaux de Terre-Neuve m’enchante! »
 
 
 

Danielle Éthier, Ph. D. – Scientifique des populations d’oiseaux
« À mes débuts comme biologiste, j’ai bourlingué sur le continent en étudiant les oiseaux, une façon d’entrer en relation avec la nature. Mes intérêts sur le plan intellectuel ont motivé mon retour aux études. C’est ainsi que j’ai obtenu une maîtrise en étudiant le Blaireau d’Amérique et un doctorat en évaluant les facteurs qui sous-tendent la dynamique des populations du Goglu des prés, deux espèces animales an péril dans l’écosystème agricole de l’Ontario.
« Jusqu’à présent, j’ai adopté une approche multidisciplinaire à l’étude des menaces qui pèsent sur les populations fauniques dans des paysages modifiés par l’être humain. À titre de scientifique s’intéressant aux populations aviaires à Études d’Oiseaux Canada, j’envisage d’évaluer les facteurs à grande échelle qui influent sur la dynamique de ces populations en vue d’orienter les pratiques de gestion des habitats fondées sur la science et la prise de décisions gouvernementales. J’ai hâte de mettre à contribution l’importante masse de données aviaires recueillies par des citoyens scientifiques dans l’ensemble du pays afin de résoudre les problèmes clés liés à la protection des populations d’oiseaux tout au long de leur cycle annuel. »
 
 

Andrés Jiménez – Coordonnateur des programmes urbains en Ontario
« Je suis un biologiste passionné des animaux. Mon travail comprend la conservation de la faune, la sensibilisation des acteurs politiques et la gestion de projets. Actuellement, mon travail est relié à d’autres programmes d’Études d’Oiseaux Canada et son équipe responsable du soutien du public dans le but d’accroître l’engagement envers les oiseaux et la conservation dans les milieux urbains en Ontario. En d’autres termes, ma mission au quotidien consiste à créer des liens entre les gens et la planète. Des liens qui se créent de différentes façons, par exemple la découverte du Passerin indigo pour quelqu’un et le désir de renforcer l’urbanisme écologique dans les villes pour quelqu’un d’autre.
« Dans le passé, j’ai travaillé dans des habitats très isolés et vierges de mon pays, le Costa Rica. Maintenant, je travaille à Toronto, où l’empreinte humaine sur l’environnement est très forte. Cela crée un écart fascinant et unique. J’ai pu voir tout le spectre, depuis la forêt tropicale humide de la péninsule d’Osa jusqu’aux ravins et aux parcs de Toronto. »

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